Comment construire un escalier en béton dans un jardin ?
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Attention, cet article au fort potentiel glamour est rempli de photos de béton, coffrage, treillis et truelles. Toutefois, amie modeuse, sache qu’en construisant toi-même ton escalier en béton, tu économiseras facilement de quoi t’acheter de beaux escarpins. Moi, j’ai pris l’option « voyage en amoureux »; je marche difficilement sur de hauts talons.
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L’escalier en béton de mon jardin est terminé depuis quelques semaines et je ne pouvais m’empêcher de crâner un peu en vous présentant mon chef-d’oeuvre. La première marche n’était que le point de départ d’un escalier en béton qui descendrait jusqu’à mon atelier en évitant de se tordre la cheville. Ma garrigue est belle, mais pentue, nécessitant donc des aménagement pour la rendre praticable.
Je préfère vous prévenir d’avance, en cliquant sur « lire la suite », vous allez crouler sous une tonne de photos de chantier, toutes plus floues et mal cadrées les unes que les autres. Mais pas facile de prendre des photos avec des gants dégoulinants de mortier. Allez, n’ayez pas peur, c’est parti :
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Première marche de mon escalier en béton
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Donc, accolée à la première et à la jardinière, j’ai construit cette seconde marche, véritable point de départ de l’escalier. Comme le terrain est très pentu, le plus compliqué fut de fabriquer le coffrage et de l’ajuster. J’ai volontairement créé une pente sur la droite de la marche pour diriger les eaux de pluies dans cette direction. Après décoffrage, j’étais plutôt fière de moi; la marche est propre et bien alignée, pari gagné ! C’est alors que je me suis retournée :
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Marche après marche, réalisation de l’escalier en béton
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Et j’ai réalisé l’ampleur de la tâche qui m’attendait ! J’avais construit une marche d’1 mètre de long mais il en restait encore 7 devant moi avant d’atteindre mon but : rejoindre par un escalier en béton la galerie en bois et métal devant mon atelier. Difficulté supplémentaire, il me faudrait intégrer discrètement à fleur de marche le regard que vous voyez le long du mur. J’avais déjà mis 2 sacs 1/2 de mortier dans la seconde marche, il fallait donc que je trouve une solution pour ne pas avoir à mélanger trop de mortier pour ce chantier. Comme nous n’avons pas de bétonnière, on s’est réparti le travail: mon cher et tendre mélangeait le mortier tandis que je préparais les coffrages, ramassait les pierres et coulais les marches. La galerie fait 1.10 mètre de large mais j’ai décidé de réduire mon escalier en béton à 82 cm pour que le projet reste réaliste.
Ces photos, à l’esthétisme indéniable, montrent bien la double problématique de cette pente; une descente très raide vers l’atelier, ainsi qu’un ruissellement d’eau de pluie qui entraîne inexorablement le gravier de notre chemin d’accès et érode le sol. Grâce aux jardinière et escalier faits maison, je vais empêcher le gravier du chemin de dévaler la pente et détourner l’eau de pluie qui stagne en contrebas.
C’est reparti pour une troisième marche, assurément la plus compliqué. On y a passé 300 kilos de mortier et encore plus de pierres. Le temps de laisser la marche sécher, nos bras endoloris se reposer, on a repris le travail, au rythme de deux marches par semaine :
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Faire un escalier en béton dans un terrain en pente
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On est repartis du bas de l’escalier; j’ai ajusté aussi précisément que possible mes marches pour qu’elles soient régulières et intégrer le fameux regard. Grande émotion quand, après quelques semaines de travail, j’ai enfin décoffré la toute dernière des 10 marches. Et parce que les travaux ne sont jamais terminés, j’ai aménagé le petit bout de garrigue devant mon atelier, qui dépérissait sous graviers et eau stagnante. Une jardinière et deux restanques en gabions plus tard, c’est enfin un vrai jardin. Mais c’est déjà une autre histoire, que je vous raconterai plus tard, si vous êtes sages.
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Si vous souhaitez vous lancer dans la construction d’un escalier extérieur en béton, tous les détails techniques et conseils sont en fin d’article. Mais voici déjà notre première montée des marches :
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Il me reste encore à végétaliser les abords de l’escalier. J’attends de voir si mes romarins prennent bien avant d’en planter tout le long pour faire la transition avec la nature autour.
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Conseils pratiques pour construire un escalier en béton
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Dans cet article, j’explique comment j’ai construit la première marche, qui fut le point de départ de l’escalier. Vous y trouverez tous les détails techniques et conseils pour construire facilement une marche en béton. Vous allez voir, ce n’est pas si compliqué. Pour construire un escalier en béton dans un jardin en pente, voici mes conseils :
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Avant de commencer
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- planifier votre chantier : pour travailler proprement sans s’épuiser, il est important de bien planifier vos travaux en les découpant en tranches successives. Comme il est difficile de reprendre du béton une fois sec, mieux vaut réfléchir et bien préparer son projet avant de le couler
- mesurer : à l’aide d’un mètre et d’une grande règle an aluminium, ou d’un laser, prendre des mesures précises et faire un plan d’implantation de votre escalier
- réfléchir à la taille des marches : « balancez » bien votre escalier en faisant des marches régulières. Testez différents escaliers en notant hauteur et longueur des marches pour vérifier que le vôtre sera agréable à emprunter. Ici, je devais m’adapter à une pente irrégulière et un regard à encastrer, j’ai créé différentes séries de marches, dont une grande de 2.5 m de long en légère pente
- pour que votre escalier en béton vieillisse bien, penser à faire déborder chaque marche 10 cm sous la suivante. Ainsi, chaque marche repose sous la précédente, consolidant l’ensemble de l’escalier
- n’oubliez pas de lier les marches entre elles par un treillis de fibre de verre. A l’arrière de chaque marche, laissez une longueur de treillis de fibre de verre déborder pour lier la marche suivante
- tenir compte du ruissellement d’eau de pluie : observer le ruissellement. Pour éviter que l’eau ne stagne sur vos marches, faites de légères pentes vers l’extérieur. N’oubliez pas de tenir compte de ces pentes dans le calcul de la hauteur totale de l’escalier ( pensez à additionner hauteur de la marche + pente de la marche pour obtenir la hauteur finale de l’escalier ). En maçonnant la surface de la marche, faites également attention à ne pas créer de creux
- afin de limiter au maximum le ruissellement en contrebas, j’ai créé une rigole à mi-hauteur de l’escalier pour drainer les eaux de pluies vers l’extérieur
- si possible, fixez une grande feuille de papier à l’endroit où vous allez construire votre escalier en béton, et dessinez vos marches pour les visualiser afin de confronter vos plans à la réalité
- si la longueur de votre escalier est importante, il peut être intéressant de le commencer simultanément en bas et en haut. Ainsi, vous limiterez le temps d’attente pour le séchage des marches en béton et pourrez plus facilement rectifier si votre escalier, trop haut, trop bas, pas bien aligné
- pour faire la jonction entre l’escalier en béton et la galerie, j’ai laissé une rigole de 10 cm de large, que j’ai remplie de paillis d’ardoise. Cette solution, assez esthétique mais simple à mettre en oeuvre, draine l’eau de pluie sans avoir de rigole apparente, tout en permettant l’accès à la structure en métal de la galerie pour pouvoir la repeindre
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Faire les coffrages
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- attention, pour éviter de voir votre bel escalier en béton se fissurer, il faut impérativement laisser un joint de dilatation entre celui-ci et le bâti existant. Pour faire ce joint, j’ai opté pour du carton épais ou du mdf. Ainsi, j’ai tracé le niveau de chaque marche, ce qui m’a guidée pour le coulage. Des panneaux plus grands que nécessaire m’ont permis de pour protéger l’enduit existant
- ajustez bien vos coffrages, surtout si votre terrain est en pente irrégulière. Ici, construire les coffrages fut une tâche complexe. J’ai repris chaque coffrage plusieurs fois pour l’adapter à la pente. Mais si votre terrain est plat et vos marches régulières, vous allez pouvoir réutiliser votre coffrage initial pour faire toutes vos marches – quelle chance !
- après avoir tenté de maintenir mon premier coffrage avec des pierres glanées sur le terrain, j’ai finalement préféré acheter des parpaings que j’ai rempli de pierres pour les alourdir
- ne négligez pas la consolidation de votre coffrage pour le maintenir en place lors du coulage. N’oubliez pas qu’ils vont devoir supporter la pression de plusieurs dizaines, voire centaines de kilos de béton. C’est plutôt stressant de voir son coffrage commencer à bouger alors qu’on coule le béton. Mieux vaut prendre des précautions que de risquer de voir son ouvrage se déverser ou bouger
- les coffrages droits sont faits en voliges de chantier. Comme mes coffrages ne comportaient que souvent que deux faces, je les ai renforcés à l’angle par une seconde épaisseur de volige afin qu’ils restent d’équerre
- et j’ai laissé déborder la face de côté du coffrage pour l’appuyer sur la marche précédente
- pour la longue marche arrondie, j’ai renforcé la face avant en volige pour qu’elle reste bien droite. La partie arrondie est faite de deux panneaux superposés de mdf de 6 mm d’épaisseur, qui présente l’avantage de se cintrer facilement. Pour supporter le poids du béton, j’ai renforcé ces panneaux tout le long avec des parpaings et de grosses pierres
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Coulage de l’escalier en béton
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- pensez à toujours avoir un peu plus de mortier et de pierres, ou de béton, que nécessaire. C’est assez frustrant de devoir interrompre son travail pour courir acheter des matériaux
- couler chaque marche d’un coup. Les faces de vos marches risquent de ne pas être très propres si vous reprenez votre travail sur du béton déjà sec
- ne pas oublier de faire un lit de pierres au fond de chaque marche pour stabiliser le sol et ne pas risquer de voir votre ouvrage s’affaisser
- pour consolider mes marches en béton, j’ai préféré le treillis de fibre de verre au treillis soudé en acier. Le treillis de fibre de verre est tout aussi résistant mais beaucoup plus facile à travailler. Il est souple et se coupe aux ciseaux, facilitant grandement le travail
- ne lésinez pas sur le treillis de fibre de verre. Même si, théoriquement, une épaisseur suffit, j’ai préféré en mettre 2 ou 3 par marche, en travaillant comme si je faisait des lasagnes : une couche de mortier, une couche de treillis de fibre de verre, une couches de pierres ou de gravier et ainsi de suite
- mais, surtout, laissez le treillis déborder sous la marche suivante pour qu’il tienne bien deux marches ensemble. Si possible, essayez d’avoir un seul treillis qui lie toutes les marches ensemble. Sinon, liez toujours au moins deux marches par un treillis de fibre de verre
- et quand la surface de votre marche est dure comme du cuir, n’oubliez pas la lisser doucement à l’éponge pour égaliser la surface. Attention, ce sera impossible à faire quand elle aura complètement durci
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Conseils généraux pour faire de la maçonnerie
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- priorité à la planification ; observez votre terrain, réfléchissez et faites des plans avant de commencer votre chantier
- la conception du coffrage est une étape cruciale pour obtenir un résultat propre et droit. Ne négligez pas cette partie préparatoire
- mieux vaut mélanger régulièrement de petites quantités de béton. Préparer un demi-sac à la fois suffit pour ce type de chantier. Il est toujours difficile de trouver à quoi utiliser du béton superflu
- n’oubliez pas de mettre des gants imperméables pour protéger vos mains, le béton est agressif et dessèche la peau
- mettez aussi des chaussures fermées et solides, qui protégeront bien vos pieds
- enfin, la crème solaire n’est pas superflue
- je travaille toujours en musique, pour garder la pêche et le rythme et n’oublie pas de boire régulièrement de l’eau
- procédez par étapes. Inutile de la regarder dans son ensemble, la tâche paraîtra insurmontable. J’ai travaillé marche après marche, sans penser à l’ensemble de l’escalier
- et, surtout, savourez votre fierté une fois votre travail achevé. En faisant cet escalier en béton moi-même – plus important encore que les économies réalisées – j’ai surtout l’immense fierté d’avoir réussi à le faire. Repousser ses limites et voir de quoi on est capable, n’est-ce pas une des plus grandes joies de la vie ?
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Avez-vous déjà fait de la maçonnerie ? Essayeriez-vous de faire un escalier en béton dans votre jardin ? Auriez-vous des idées pour aménager les abords de mon escalier ?
35 Commentaires
29 mai 2016 14 h 55 min
Très cool tes « escarpins façon voyage en amoureux » (comme le reste de ta tenue d’ailleurs). Au début du billet, je croyais que tu rigolais : je m’attendais à découvrir une photo de toi en train de te limer les ongles sur les bords d’une jardinière (façon nain de jardin glamour) pendant que ton mec suait sang et eau, les deux pieds dans le bac de béton, pour réaliser ton petit rêve d’escalier. Mais en fait pas du tout ! Je n’en reviens pas que tu te sois lancée dans une pareille entreprise ! Franchement, chapeau bas ! C’est vraiment ce qui s’appelle mouiller la chemise. J’imagine qu’à la troisième marche tu as dû légèrement regretter ton plat pays – et copieusement insulter la garrigue pentue (en Flamand pas vraiment rose, au besoin…). Mais le résultat en vaut vraiment la peine. Pour répondre à ta question « avez-vous déjà fait de la maçonnerie », la réponse est oui : j’ai réalisé un bougeoir en béton (et je me suis abîmé deux ongles). J’imagine que ça compte ? Pour la deuxième question « Essayeriez-vous de faire un escalier en béton dans votre jardin ? » Jamais de la vie ! Folie ! Fort heureusement (pour mes ongles), chez moi, le terrain est plat. Mais dans le cas contraire, je ne m’en sentirais pas le courage. Enfin pour aménager les abords de ton escalier, j’aurais tendance à dire, romarin, thym, lavande, figuiers de Barbarie… bref tout ce qui pousse bien tout seul dans la garrigue.
PS : je suis la Christine avec laquelle tu as eu un échange au sujet de Porto, sur le blog de Caro. Ton site est un pur enchantement. Et je n’ai pas tout vu ! J’essaie de faire durer le plaisir, comme avec les bouquins que j’aime… Mais déjà Ohhhh ! Le film sur les canaux d’Amsterdam ! Ta chambre !!! Le tote bag Mère Veilleuse ! L’Islande ! Moi qui m’exporte très mal en dessous de 25° (je suis une vraie méditerranéenne), tu as réussi à me tenter en me présentant ta randonnée de Feu et de Glace. Bref, je suis totalement sous le charme.
Merci Christine, mais tu es vraiment arrivée au bout de cet article-fleuve, sorte de « Guerre et Paix » du bricolage ? Tu as toute mon admiration !
J’étais bien consciente en construisant mon nid dans une garrigue pentue que les travaux seraient un peu plus compliqués…et n’avais pas envisagé au début être capable de le faire, cet escalier. Mais c’est comme pour le reste, finalement, on y arrive. Même si mon escalier n’est pas parfait, même si mes explications et conseils sont un peu confus, j’avais surtout envie de partager la joie d’y être arrivée. Et finalement, en exploitant mon cher et tendre pour le mélange du mortier, le travail n’était pas si physique qu’il peut en avoir l’air…préparation et mise en place des coffrages fut la partie la plus compliquée.
J’attends un peu de voir si mes romarins poussent bien ( malgré mes apports, la terre est vraiment appauvrie dans la pente ), puis me lancerai dans la végétalisation des abords. Je suis aussi adepte des plantes de garrigue qui poussent toutes seules.
Je n’ai pas encore fait de bougeoir en béton, mais un mix béton-cuivre me tente bien. Et les petits projets ne sont pas toujours les0 plus facile à réussir, je garde un souvenir cuisant de ma tentative de fabrication d’œufs en béton pour Pâques.
Si j’arrive à trier mes centaines de photos pour faire un article sur notre bref séjour à Porto, je serais ravie de profiter de tes conseils en commentaire; je crois que d’autres lectrices ont prévu d’y séjourner. Et pour tous ces adorables compliments, que puis-je te dire sinon que je rougis ( c’est mon côté belge, filasse du cheveu mais joues bien rouges, godferdoum ).
Eh oui ! J’ai lu l’article dans son intégralité, conseils pratiques compris (alors que nul besoin d’escalier ne se fait sentir par ici), simplement parce que tu écris bien (franchement, rendre palpitante la naissance d’un escalier, il fallait le faire) et aussi parce que ton accroche était suffisamment cocasse pour m’amener au bout. J’ai trouvé tes explications limpides et tu me sembles drôlement pointue. Mais, par pitié, dis-moi que l’atelier en bas de la pente EST un atelier d’architecte (ou d’entrepreneur en travaux publics ou de maçon), bref que tu es de la partie, sinon je vais développer de gros complexes. Le commentaire de Val m’a achevée. Pourtant, ça commençait bien : « Je n’ai jamais entrepris un travail d’une telle envergure », disait-elle en préambule. J’ai pensé « Ah ! Val a dû repeindre un mur de sa chambre… comme moi » <= Oui, je viens de faire ça (toute seule) (je suis une héroïne). Purée, pas du tout ! Elle s’est farci l’intégralité de la maison ! 1 sous-couche + 2 couches !… perchée sur des échafaudages (joie) ! Et je ne parle même pas de la pose de laine de verre (ma vision du bonheur) ou de l’utilisation d’une scie circulaire (on va drôlement loin dans la félicité, là…). Personnellement, les outils un peu agressifs me tombent des mains. Littéralement. Un jour, j’ai voulu utiliser un taille-haies motorisé en l’absence de mon compagnon (je voulais lui faire la surprise façon : regarde, mon tendre amour, j’ai rafraichi les 50 km de ronciers qui entourent joliment la baraque TOUTE SEULE). Bref, j’ai activé l’engin et il s’est mis à vrombir et à tressauter dans mes mains, comme animé d’une vie propre, façon film d’horreur. J’ai fait 2 ou 3 tours sur moi-même, entraînée par le truc, en hurlant de façon totalement hystérique (sans parvenir à couvrir le grondement de la bête), puis j’ai fini par avoir l’idée de jeter ce dangereux outil loin de moi. Eh bien ce perfide salopard a continué à pirouetter sur lui-même en grondant et en projetant des petits cailloux tout autour de lui jusqu’à épuisement du carburant. Traumatisant ! Je ne veux pas me la jouer faible femme mais, tant qu’à figurer dans un film d’horreur, j’aime autant aller jouer à la dînette armée d’un gros couteau à sushis en compagnie de la délicieuse poupée Chucky.
Oups, le quotidien un peu moins palpitant et plus salissant que tu ne pourrais l’imaginer dans ce fameux atelier…mais j’espère bientôt y créer aussi un petit espace dédié pour Be Frenchie et les projets vidéos de Philéas…on a une légère tendance à envahir la maison.
Poser de la laine de verre, rien que d’y penser ça me gratte aussi ! Laine de verre et poux, même combat ? J’ai eu la même réaction en lisant ce commentaire. 10 000 vis quand même ! Mais as-tu vu les DIY de Val Lao dans son commentaire sur mon premier article en hommage au BTP ? Sa lampe est une splendeur !
Je suis désolée, mais j’ai ri en visualisant cette scène. Mais qui a l’idée d’acheter un taille-haie thermique ? Prends-en un électrique, muni d’une rallonge. Tu l’allumes, bien sûr tu coupes la rallonge avec ( d’expérience, c’est ce qui fini toujours par arriver ) et le problème est réglé.
La lampe de Val est juste magnifique ! Je ne l’avais pas vue. J’adore. Je peux te proposer un DIY de lampe (non électrifiée) à fabriquer avec Virgile et à suspendre dans le jardin ou à placer sur la table de chevet de ton Piou ? Si ça te tente, tu pourras voir quelques-unes de mes lampes ici (enfin, si le lien fonctionne): https://goo.gl/photos/tJM57jCa9qDB9ngT9
Commençons par le matériel. Il faut :
– des bocaux « Le Parfait »
– des loupiotes LED à piles : https://www.amazon.fr/unit%C3%A9s-%C3%89clairage-placard-aliment%C3%A9-batterie/dp/B00H8M3CQ2?ie=UTF8&redirect=true&ref_=pe_386181_124845011_TE_dp_5
– des piles (3 en format AAA par loupiote)
– quelques poissons rouges : http://www.mylittlebazar.com/fr/pochettes-surprises/3134-poisson-rouge-goldfish.html ou bien un petit jouet : un animal en plastoc, un Playmobil… ou bien encore une grue ou un bateau en origami… bref ce que tu veux, quoi.
– du fil doré ou du fil de pêche (pour les poissons ou l’origami)
– du scotch (pour faire tenir les fils)
– de la glue (pour coller la loupiote dans le couvercle)
– une bombe de peinture (si tu veux peindre le jouet ou le couvercle du bocal ou les 2)
– du fil de cuivre (pour suspendre ton œuvre)
Comment procéder :
Il faut commencer par peindre le couvercle. Faire 2 trous (avec un marteau et un clou) de part et d’autre du couvercle pour suspendre la lampe. Accrocher le fil de cuivre. Coller une loupiote à LED dans le cache du couvercle (les lampes sont livrées encollées, mais j’ajoute un point de glue). Avec une aiguille à coudre percer les poissons et les accrocher avec un fil (doré ou de pêche, donc). Scotcher le haut des fils autour de la loupiote. Allumer. Refermer le bocal. Et s’applaudir. Pour les animaux ou les jouets, je me contente de fixer la bestiole avec un point de glue.
Mais c’est absolument adorable Christine ! On pourrait même fabriquer un décor marin en papier à glisser dans le bocal et des sirènes qui flottent au milieu des poissons. Quelle jolie idée !
J’espère trouver un moyen de créer un espace de partage pour que chacun puisse partager ses créations, recettes, coups de coeur de manière simple – j’ai pensé à un tableau Pinterest collaboratif.
Haaan mais c’est trop drôle ces lampes, Christine ! J’adore !
Oh noooon ! Christine je suis morte de rire (pardon) avec cette histoire de taille-haies !!!!! Merci merci !
Bon, pour le reste, je peux rester modeste, mon homme a tout de même fait beaucoup plus que moi dans cette maison… pourtant, il partait de loin ! Mais c’est chouette de regarder ses murs et de ce dire « c’est moi qui l’ai fait ». Et d’ailleurs, on voit par lequel j’ai commencé, et le dernier que j’ai fait : le rechampi est bien mieux fait :-) !
PS : je colle le lien à mon nom vers la page Facebook que je viens tout juste d’ouvrir :-) Mon projet avance !!! Yep yep !
Mais Val Lao, je découvre ton projet en lisant le dernier article d’Armelle…je ne savais même pas que tu faisais de la couture et je découvre que tu es la reine de la teinture. Ces nuances de bleu sont sublimes ! J’ai hâte de découvrir ce projet.
Oh flûte, je n’ai toujours pas vraiment compris comment fonctionne facebook – ma fameuse phrase : « demain je mets à jour ma page facebook » est désormais aussi culte à la maison que le « maman, tu pilotes ton bateau ».
Hahahaha ! J’ai un compte perso sur Facebook depuis plusieurs années, mais ne l’utilise assidûment que depuis environ 2 ans. En revanche, je viens juste d’ouvrir ma page, pour mes activités couture et autres, et donc pour rameuter du trafic vers mon e-boutique que je n’ai pas encore finalisée (le projet dont je t’ai parlé qui me prend tant de temps – et d’énergie). En fait, elle est presque prête, mais il faut que je fabrique de quoi l’approvisionner, et entre temps, j’ai un marché des créateurs sur deux jours les 18-19 juin…
J’ai vu oui, que tu n’es pas très active sur Facebook : je t’y ai demandée en amie, mais ne vois jamais rien paraître ;-)
PS : Je crois que je ne savais pas que tu lisais chez Armelle ?!
En fait ça n’est pas si compliqué : quand tu acceptes l’invitation d’un tiers à devenir « ami » avec lui, c’est réciproque : tu vois ses publications sur ton mur, il voit les tiennes sur le sien. Tu peux commenter, liker, etc. Bien sûr tu n’es pas obligée de répondre favorablement à l’invitation. C’est là qu’il est sans doute important de réfléchir avant de dire oui, selon la nature des tes publications. MAIS, il y a aussi une option qui te permet de « catégoriser » tes « amis » selon des cercles concentriques, en fonction de la proximité que tu souhaites avoir avec eux. Tu peux ensuite choisir que seul(s) ce(s) cercle(s) verront telle ou telle publication. Tu peux même choisir « tous les amis sauf ». MAIS cela dépend aussi de comment tes amis ont paramétré leur bouzin : public ou amis seulement etc.
Ça, c’est pour les comptes perso.
Il y a aussi les Pages. Tu pourrais donc (comme moi désormais) avoir un compte Daphné et une Page BeFrenchie. Les Pages sont des comptes publics, dont la fonction principale est de « faire de la pub » (mais en moins vulgaire, on appelle ça « communiquer ») pour son activité, son entreprise, son blog, son site, son e-boutique, etc. Là, si tu t’abonnes à la Page, tu en verras les publications sur ton mur, le gestionnaire de la page verra tes Likes et tes commentaires, mais ne verra pas ce que toi tu publies sur ta page. Par exemple, je suis l’actu de Dominique A par ce biais, mais lui ne voit rien de mes petites affaires (c’est dommage mais bon…). Lou Doillon non plus. L’Obs, State ou les Inrocks ne savent même pas que je les lis (quelle hérésie !). Bref, tu vois l’idée. Finalement, pour les Pages, c’est un peu comme sur Instagram.
En fait, il suffit de s’y mettre !
Précision : Dominique A peut voir ce que je publie en mode Public sur ma page Facebook, en cliquant sur un Like ou un Commentaire que j’aurais laissé sur sa page. Mais il ne verra rien de ce que j’ai publié en mode « amis seulement ». Ce que je voulais dire, c’est qu’il ne verra rien de mes publications de façon automatique, défiler sur sa page.
Merci pour ces conseils Val Lao; tu maîtrises tant de domaines, je suis toujours bluffée. Je dois t’avouer que je suis une quiche absolue en matière de réseaux sociaux, mais ils pourraient être de bons outils pour accompagner le blog – à condition de savoir comment les utiliser.
Dans l’idéal, j’aimerais utiliser instagram pour des petites tranches de vie, tweeter pour partager des coups de coeur ( mais un tableau collaboratif Pinterest semble une voie plus intéressante encore ), la newsletter pour apporter un petit supplément mensuel réservé aux abonnés…et reste facebook dont je ne vois pas encore bien la spécificité potentielle.
La première étape consisterait à y rapatrier mes anciens articles mais j’ai des petits soucis de compatibilité sur certains d’entre eux, les photos ne s’affichent plus. Je dois rentrer dans le code html de chaque article pour régler ça et c’est plutôt fastidieux. Donc, chaque jour, j’essaie de récupérer les photos d’un article, jusqu’à ce que toute ma liste soit cochée. Puis, je me pencherai sur facebook proprement dit.
Et le prochain chantier ici sera la page « à mon propos » et ce sacré bandeau dont je suis toujours privée.
Le ton de son blog est vraiment sympa et j’aime sa franchise à toute épreuve – mais j’ai rarement commenté.
Bon, je peux examiner tous les murs de la maison en m’exclamant “Et en plus, c’est moi qui les ai pas faits!” <= excepté le mur du fond de ma chambre repeint par mes soins (applaudissements Mesdames/Messieurs dans la mesure où j’ai quasiment dégagé les angles au pinceau à ongles pour un rendu parfait) (et aussi un peu parce que je n’avais pas le pinceau ad hoc -et la grosse flemme à l’idée d’aller pousser un caddy au Brico Marché du coin). Je me consolais en me disant : bon, ok, ici toutes les filles savent rechampir (gné ? Késaco) ou fabriquer des jardinières en gabions (re-gné ?), mais MOI, je SAIS coudre (un coussin). Et paf ! Voilà-t-y pas que la Val (zaï, zaï, zaï … Whooho ! Whooho !) sait coudre, monte une entreprise de Dieu sait quoi, mais mon petit doigt me dit que, si c’est du niveau de sa lampe, ça va tout déchirer, et en plus elle TEINT. Et elle sait poser du passepoil ! ET elle sait se servir de Facebook (moi non plus). Hu-mi-liée, je suis !!! Val, tu annonces un site pour dans pas longtemps mais, pour les copines qui n’ont pas encore leur master en Facebook, ne pourrais-tu pas spoiler un petit coup ici ? Allez ! Allllllllleeeeez ! Juste une photo de rien du tout avec un petit bout de quelque chose. S’te’plait, s’te’plait…
Enfin pour l’association lin teint/charmant tissu à fleurs, je trouve que les deux bleus conviennent parfaitement. Oui, je suis une aide précieuse.
Aie, les courses de chantier, le moment que je préférerais éviter. Avant d’acheter mon morceau de garrigue, j’avais calculé précisément le temps de trajet jusqu’au Rongeurama le plus proche. Bonne pioche, fut un temps où j’y passais quotidiennement. Maintenant, plus qu’une fois par semaines, en moyenne.
Mais oui Val Lao, on exige des photos ! ( Et grâce à toi, j’ai enfin une bonne raison de me mettre à facebook, mais demain, hein ? )
Hahahaha !!!! Oui, t’inquiète, je vais rameuter les copines de blogs sur mon e-boutique dès qu’elle sera prête :-) En attendant, merci pour ton humour, et aussi pour tout le reste, car c’est grâce à ce genre de paroles bienveillantes que j’ai fini par me lancer, à force !
Je suis sûre que tu vas cartonner – tu as le talent, l’énergie, la volonté, et je devine une sacrée force pour le travail à abattre !
29 mai 2016 21 h 06 min
moi je dis wahou ! je garde cet article sous le coude pour tous les conseils. Le béton ne me fait pas peur mais les erreurs sont vite là (béton qui craquelle, …). Encore bravo car c’est très beau.
Et moi, je dis youpi, c’est fini !
C’est vrai Magwel, mieux vaut bien planifier ses travaux de maçonnerie. Si ce n’est pas cher, ni compliqué à faire, difficile de reprendre une fois sec. J’avais glané autant de renseignements que possible avant de me lancer et fait des tests sur de plus petites surfaces. Ouf, aucune craquelure en vue !
Et moi je dis : Comment ça youpi c’est fini ?!!! Daphné, tu ne vas pas faire ta grosse feignasse. J’attends avec impatience le DIY de la piscine bétonnée installée sur terrain pentue. Je vois d’ici les plans détaillés – et les calculs pas complexes du tout- pour bâtir un petit coffrage de rien du tout et pour démouler un mini bassin d’une capacité de 3 750 m3 les doigts dans le nez. Allez ! Couraaage !
Mais je ne montre pas tout par ici – si ça se trouve, ce bassin olympique existe déjà ? ;-)
Au départ, je rêvais de faire un chemin d’eau qui glougloute joliment dans la pente, et se serait jeté dans un joli aquarium rempli de carpes sur lequel on serait passé pour rentrer dans la maison. J’ai lâché l’affaire en étudiant l’alimentation électrique nécessaire à la pompe. Dans une prochaine vie peut-être ? A moins que je ne soit réincarnée en carpe tournant en rond dans mon bassin ?
Mais comme je sens que je passionne les foules avec cet article très Bouyguesque, je vous préviens; attention, au prochain commentaire, je vous fait un article sur ma jardin en gabions.
30 mai 2016 0 h 05 min
Waow ! Tu as toute mon admiration ! Bravo vraiment ! Et ce d’autant plus que je réalise bien ce que c’est qu’un tel chantier.
Je n’ai jamais entrepris un travail d’une telle envergure. Je crois que le plus gros truc du genre que j’ai fait, c’est peindre la totalité de ma maison, sous-couche et 2 couches, tous les plafonds et tous les murs, parfois juchée à 3 mètres de haut juste sur une planche vissée entre la dernière marche et l’échafaudage…… J’ai posé la laine de verre aussi, vraie partie de plaisir, heureusement partagée sur un week-end avec les copains… Et vissé avec mon homme tout le bardage bois, des longues planches bien épaisses, de 4 mètres de long X 17 cm, que je recoupais à la scie circulaire si nécessaires (ce truc me foutait une trouille folle, mais j’ai coupé quelques centaines de planches avec). J’ai arrêté de compter à 10.000 vis (oui) mais nos épaules gauches s’en sont souvenu longtemps, elles… Au début du chantier, j’avais le vertige sur un escabeau, et quelques mois plus tard, je vissais la plus haute planche de la maison, à 7 mètres de haut !
C’est sans doute pour ça que je ne daigne plus m’abaisser au sol pour installer nos plinthes ! Ces bas de murs nus, parfois à peine peints, ça fait loft non ? (je sais que tu sais)
Bref, je suis épatée par le résultat de votre escalier, et surtout je vois bien la somme d’efforts nécessaires. C’est du pur délire.
Pas de meilleure idée que la tienne pour aménager les abords, sans doute faudra-t-il planter assez loin pour que ça ne finisse pas par gêner le passage…
Quoi qu’il en soit, vous avez bien mérité votre séjour à Porto !
Ce n’était pas si long tu sais…mais j’étais contente que ce soit terminé – bien que j’envisage déjà de refaire un peu de maçonnerie ( après l’été, hein, je suis pas folle ).
10 000 vis ? Tu as eu droit à une bonne visseuse j’espère ! Telle la Edmund Hillary du bricolage, c’est une victoire qui marque une vie.
Oui, avant de se lancer, on ne réalise pas toujours de quoi on est capables. Mais monter à 7 m de haut pour poser du bardage, pas sûre que je le ferais. Tu avais un échafaudage assez haut ? J’ai aussi peint toute la maison, mais c’est tellement plus facile quand les pièces sont encore vides…et, bien sûr, j’ai craqué et acheté un (petit) échafaudage alors que j’arrivais à la fin de mon chantier. Même en dépliant l’échelle à son maximum tout n’était pas atteignable. J’ai une scie circulaire, mon héritage, mais je n’ose pas trop m’en servir après avoir vu un proche se couper méchamment. Du coup, j’attaque tout à la scie sauteuse. Tant pis si ce n’est pas très droit – moi et mes doigts on finira notre vie ensemble.
Les prochains travaux ici seront moins gratifiant; la maison n’est pas encore terminée ( une bête histoire de plinthes par endroit ) que la rénovation est déjà commencée.
Mazette, mais j’étais en haut d’une échelle, à 7 mètres !!!
On avait bien un échafaudage, mais seulement pour l’intérieur, et qui m’a bien servi pour peindre le plafond le plus haut (si tu vas farfouiller bien loin dans mon instagram, tu trouveras des photos du genre), car l’extérieur était totalement impraticable pour ce genre d’installation. Donc, échelle…. MAIS, je te rassure, ladite échelle était posée sur un toit (terrasse) intermédiaire, donc le dénivelé était moins important pour l’échelle (mais tout autant pour moi qui était côté façade haute…bon, c’est pas facile à comprendre mais moi je sais)
Justement, comme j’ai vu qu’il est privé, je n’osais pas te demander si je pouvais m’abonner à ton compte instagram – mais un compte rempli de photos de chantier et de créations maison, comment ne pourrais-je pas être tentée ?
Waouh, j’ai culminé à 5 m maximum sur une échelle, et n’étais pas vraiment à l’aise. Même avec un toit terrasse, faut le faire quand même ! Aie, les travaux en pente, je connais. En débarquant dans ma garrigue pentue, j’ai investi dans une échelle avec pied réglable pour s’adapter aux contraintes topographiques de l’environnement naturel ( bref, c’est pentu ). Bien utile quand l’heure fut venue de vernir le lambris extérieur, effectivement !
Et toi tu as bien mérité d’emporter le joli sac mis en jeu par Daphné : 10.000 vis tout de même ! Et puis en découvrant que certaines utilisaient avec maestria une scie circulaire, les deux bras m’en sont tombés. A part ça, j’adore ton pseudo. Sauf que, au lieu de me renvoyer à une certaine élévation de l’esprit (Lao-Tseu, sagesse et pensées profondes du style : « Qui mange un chien, chihuahua »), ton « Val Lao sur la Colline » me colle invariablement la chanson de Joe Dassin dans la tête pour la journée : « Elle m’a dit d’aller là-haut siffler sur la colline, de l’attendre avec un petit bouquet d’églantines… Zaï, zaï, zaï, zaï… Whooho ! zaï, zaï, zaï … Whooho ! Whooho ! » C’est bon ? Tout le monde l’a aussi pour la journée ?… Merci Val !
Pour le concours, par contre, je suis désolée Val Lao mais tu n’as aucun mérite. Tu aurais certes pu tenter de soudoyer Virgile, chargé du tirage au sort, mais difficile de corrompre quelqu’un qui ne sait pas encore lire. ;-)
Hahaha mince alors ! J’ai encore du boulot avant que mon pseudo fasse penser à une colline du Gers !
Zai Zai Zai…
30 mai 2016 19 h 29 min
Wahouwow! L’idée ne me serait jamais venue à l’esprit d’entreprendre un chantier pareil. Vraiment bravo. Heureusement je n’ai nul besoin d’escaliers;-) C’est quoi ton prochain grand projet?!
Attention Morgane, face au défi, je me sens maintenant obligée de faire un palpitant article sur la construction d’une jardinière en gabions !
Mais où Be Frenchie s’arrêtera ( mieux vaut peut-être ne pas savoir finalement ) ? En toute honnêteté, mon projet plus immédiat serait de refaire des scones.
21 janvier 2017 9 h 32 min
Bravo ! Cette maison et son endroit ont l’air superbe
Merci ! Je me sens vraiment chanceuse de vivre chaque jour au contact de la nature; même si j’ai toujours pas mal de travail pour entretenir tout ça. La jungle qui me sert de jardin a encore poussé comme une folle cet automne, il est grand temps que je taille tout ça.
23 mai 2022 11 h 18 min
bonjour,
je dois egalement construire un escalier dans mon jardin. Etant novice, mais je crois que toi aussi tu l’étais quand tu as construit ton escalier, je suis un peu inquiet. est-ce que ton escalier a bien vieilli?
j’aurais des tas de question a te poser mais si je dois en retenir une c’est celle là: combien de temps il t’a fallu au total pour réaliser ton escalier?
Si j’ai tout bien compris, tu as fait une marche, tu as decoffré et refais la marche suivante. tu n’as pas tout réalisé d’un coup?
merci a toi
et a ta réponse