Mais où trouver une île paradisiaque en Thaïlande ? Malgré le tourisme de masse, existe-t-il encore une île préservée où profiter de la nature et snorkeler sur un récif de corail loin de la foule ? Avant qu’il ne soit trop tard, découvrez Koh Ngai, une des îles de Trang en mer d’Andaman.
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S’éloigner du tourisme de masse
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Le tourisme s’est développé de manière exponentielle en Thaïlande : le pays du sourire a accueilli en 2016 plus de 30 millions de personnes. Comment faire face à cet afflux ? Les conséquences du tourisme de masse sont désastreusses dans bien trop de coins. Et pourtant, il reste encore des régions préservées en Thaïlande, où on a l’impression d’être seul au monde.
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A la fin de notre road trip en Thaïlande, nous avions envie de nous poser quelques jours sur une île tranquille pour profiter de la nature et faire du snorkeling. Mais le royaume de Siam compte des dizaines d’îles. Alors comment n’en choisir qu’une ?
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Les îles de Trang
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Malheureusement défigurées par le tourisme de masse, Phuket, Koh Phi Phi, ou Koh Lipe ne m’attirent pas du tout. Prenons l’exemple de Koh Lipe, dont je vous parlais dans cet article : grâce à son éloignement géographique, à l’extrême sud-ouest de la Thaïlande, elle est longtemps restée à l’écart des circuits touristiques. Aujourd’hui livrée à la spéculation, Koh Lipe – qui ne fait pourtant que 2 km2 – compte plus de 50 guesthouses et hôtels. Il y a 15 ans à peine, seule une tribu de pêcheurs vivait sur l’île. Île maintenant couverte de bâtiments où des rues ont été construites. Alors, même si les récifs coralliens y sont réputés sublimes, je l’ai rayée de ma liste. Je n’avais pas du tout envie de poser mes bagages au milieu de la foule. Mais où aller pour trouver une île paradisiaque en Thaïlande ?
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Dans l’idéal, je cherchais une île calme, loin des fêtes de Ko Phangan. Une île préservée avec belle plage, récif corallien et jungle intacte, pour se la jouer Robinson des temps modernes. Mais comme nous avions peu de temps, rythme scolaire oblige, il fallait aussi qu’elle soit facilement accessible depuis Bangkok pour attraper notre vol retour. J’ai donc aussi du me résigner à abandonner mes rêves d’escapade à Koh Adang.
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Finalement, après avoir étudié toutes les îles de Thaïlande, on a décidé de retourner à Koh Ngai. Après trois séjours là-bas, je crois que je peux le dire ; c’est bien elle, mon île paradisiaque en Thaïlande. Je vous emmène à Koh Ngai avec moi ?
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Une île paradisiaque en Thaïlande
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Koh Ngai fait partie des îles de Trang, en mer d’Andaman. Ce petit chapelet de 5 îles, tout près du continent, est facilement accessible depuis l’aéroport de Trang. Et pourtant, peu de touristes y viennent. Ces îles sont encore miraculeusement préservées, ne comportant qu’une poignée d’hébergements. Ici, pas de full moon party, aucun magasin de souvenirs ou salon de massage. On vient dans les îles de Trang pour savourer leur beauté sauvage et se retrouver en pleine nature.
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Si j’ai préféré Koh Ngai aux autres îles de Trang, c’est parce qu’il y a un beau récif corallien face à la plage principale et d’excellents hébergements ( je vous parlerai de mon grand coup de coeur côté logement dans un prochain article ). Dès qu’on a posé le pied sur l’île, on a su que ces 3 jours à Koh Ngai auraient un goût de paradis.
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Une journée à Koh Ngai
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Au réveil
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Ici, le temps s’écoule paisiblement, au rythme de la nature. Pas de télévision. Ordinateur et téléphone restent rangés pour profiter du spectacle permanent en 3D. Premier objectif de la journée : se réveiller avant le soleil pour assister à l’embrasement du ciel quand il se lève derrière le rocher de Koh Ma.
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Ensuite, partons marcher dans la jungle, tant qu’il fait encore frais. Un sentier de randonnée s’élève parmi les palmiers pour rejoindre l’autre côté de l’île. On grimpe en s’accrochant aux lianes, des grenouilles sautillent dans nos pas. Arrivés au col, on est complètement seuls, perdus au milieu de la jungle. Ca grouille, ça crie, vole et remue dans les arbres. On redescend de l’autre côté et traversons une immense palmeraie, d’où émergent quelques bâtiments abandonnés. Quelques buffles placident nous regardent passer, puis se remettent à brouter. Au bout de la balade nous attend une plage sauvage, où nos pas sont les seules empreintes dans le sable fin.
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Midi
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De retour au resort, on scrute la marée. Dès qu’elle monte un peu, on file palmes aux pieds voir les poissons. Il suffit de nager droit, vers le récif de corail. A peine rentrés dans l’eau, on aperçoit déjà des étoiles de mer posées sur le fond. Puis, les bancs de poissons nous guident vers coraux, anémones, gorgones et rochers qui protègent l’île. Ici, c’est 50 shades of blue. On peut littéralement voir la transition où la mer plonge vers les profondeurs. Au large passent requins et tortues. On préfère rester sagement avec Némo.
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Le temps n’a plus prise sur ce nouveau monde qui se découvre sous l’eau. Quand on ressort, impossible de dire combien de temps on a bien pu passer à suivre les poissons, se perdre dans le dédale de ce jardin sous-marin.
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L’après-midi, la chaleur s’installe. Entre deux baignades, on bouquine et surveillons le vol des hornbills, ces gros oiseaux qui se coursent à grand renforts de cris de palmiers en palmiers. Une légère brise tourne les pages de mon livre, je prends soin d’y glisser quelques grains de sables entre les pages. Il faut toujours veiller à adoucir un peu le retour.
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Quand la nuit tombe
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En fin de journée, soit on repart torche en main vers la plage sauvage de Kuantoang Bay assister au coucher de soleil, soit on regarde l’ombre de Koh Ngai envelopper petit à petit la mer d’Andaman. Au loin, les lumière s’allument l’une après l’une sur le continent et les bâteaux de pêchent s’immobilisent. La nuit est tombée sur Koh Ngai mais le spectacle de la nature ne s’arrête jamais. On poursuit les bernard-l’hermite qui creusent leur trou dans le sable. L’ambiance est torride côté grenouilles; quelle drague effrontée avant de s’ébattre vigoureusement ! Les pieds dans l’eau, on fini la soirée en attrapant du plancton. Pas si simple; il faut vite le saisir tant qu’il est fluorescent. A peine sorti de l’eau, on ne le voit presque plus. Et on s’endort bercés par le bruit des vagues et du vent dans les palmes, en rêvant du lendemain.
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Un goût de paradis
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On pourrait rester des semaines entières ainsi, le spectacle de la nature est chaque jour différent. Après les centaines de km en voiture de notre voyage en Thaïlande, ces jours passés à Koh Ngai ressemblent à un voyage immobile. A la fin de notre road trip trépidant, cette pause sur une île paradisiaque en Thaïlande est comme un vrai sas de décompression avant de rentrer à la maison. Une bulle pour rêver de ce voyage, contempler une nature splendide et savourer chaque instant de ces 3 jours au paradis.
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Envie d’en savoir plus sur Koh Ngai ? Je vous donne rendez-vous très bientôt pour toutes les infos pratiques sur cette île paradisiaque en Thaïlande.
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32 Commentaires
1 juin 2017 8 h 55 min
Sublime, complètement sublime…
Si j’arrive un jour à décider Darling, c’est vraiment là que j’aimerais aller…
C’est un très bel endroit Armelle; depuis notre premier voyage en Thaïlande, il y a 10 ans, on a vu des lieux se métamorphoser avec l’essor du tourisme. certains coins font vraiment peine à voir.
Mais les îles de Trang restent encore miraculeusement protégées et on sent que le gouvernement se donne les moyens de préserver ce qui peut encore l’être. Certes, il y a quelques resorts sur la plage principale, mais dès qu’on la quitte on se retrouve dans une nature sauvage. Et le récif de corail se régénère petit à petit depuis le tsunami.
1 juin 2017 9 h 59 min
Article vraiment plaisant à lire et à regarder.
Des contrées « oubliées » où l’on peut robinsonner avec son Vendredi à l’abri des « sauvages » bruyants, encombrants sont rares, il faut du talent et du temps pour les dénicher.
Votre description ferait la joie du puriste pour qui la plage vide est une quête et le tourisme de masse l’enfer de Dante.
« « Ces corps allongés côte à côte sur les plages, qui font penser à des poulets cuits en série à l’ultraviolet, cachent-ils du moins des cœurs heureux ? Est-elle vraie leur pureté édenique ? » (Paul Morand).
Je suis en train de lire un bouquin passionnant sur le sujet :
Sur la plage | Jean-Didier URBAIN – Moeurs et coutumes balnéaires (XIXe-XXe siècles)
La plage ? Depuis le XIXe siècle, où le bord de mer est devenu une destination de loisirs, on n’y cherche surtout pas l’aventure ou la découverte, mais du calme, de l’entre-soi, une parenthèse. Même à l’autre bout du monde. Et ce n’est pas le moindre des paradoxes de cette langue de sable toujours plus investie (n’en déplaise au tourisme vert ou culturel) qu’aller à la plage c’est se déplacer pour ne plus bouger ! On s’y réfugie. Pourquoi ? Et que se joue-t-il de si important en ce lieu vide qui se repeuple le temps d’un été, d’une vacance ? Que nous dit la plage de notre société ? »
J’avais lu il y a fort fort longtemps L’idiot du voyage, qui me hante encore. Cette thématique de la plage est fascinante; Martin Parr s’en est aussi emparé avec acuité. Cette photo, par exemple, n’est-elle pas saisissante : https://goo.gl/iq9gNR
Pour être tout à fait honnête, je suis un peu ambivalente quand à Koh Ngai; je voudrais d’ailleurs compléter cet article par son pendant. Nombre de touristes qui y vont ne verront rien d’autre qu’une succession de plages pendant leur séjour en Thaïlande, complètement déconnectés du pays dans lequel ils sont. Aller à Koh Ngai était une parenthèse pour clore notre road trip mais je n’envisagerais pas d’aller en Thaïlande pour ne vivre que cette expérience-là. Quand on y était, on a d’ailleurs filmé une vidéo à chaud sur ce sujet; dès que Philéas en aura fini avec le bac, j’aimerais prendre le temps de la monter enfin; parce que le paradis a toujours une face plus sombre.
Et merci pour ton commentaire Shadoka; j’aime que ce qui soit intéressant dans les articles postés ici se passe une fois l’article fini. Sais-tu à quel point nos échanges me poussent à prendre du recul ?
1 juin 2017 11 h 51 min
Hello Daphné !
Moi qui vais chaque année en Thaïlande, je suis heureuse de découvrir ici une île dont je n’ai jamais entendu parlé. Je te rejoins totalement sur le tourisme de masse, c’est vraiment dommage car au final ce sont plutôt les locaux qui ne protègent pas assez leur patrimoine au détriment de quelques billets…
Cette île a l’air vraiment d’un petit paradis, je me la garde dans un coin pour mon prochain voyage! A très bientôt :)
Amandine de http://www.travelystory.com
Mais oui, n’est-ce pas étonnant que les îles de Trang soient si peu connues ? Koh Mook et Koh Kradan sont sublimes aussi et la région de Trang, bien plus tranquille que Krabi, mérite d’être découverte.
Le développement de Chiang Mai, par exemple, est assez saisissant. Mais si tu cherches des coins encore très préservés, les vlogs qu’on a filmés pendant notre road trip en février pourraient t’intéresser.
1 juin 2017 16 h 14 min
Oh la laaaaaaaaaaa ! Je crois que, moi qui ne suis pas du tout attirée par ces contrées, là quand même, là quand même… WOW !
Ces photos by Dumbo sont sublimes, sublimes. D’ailleurs, tu ne nous l’as toujours pas présenté, et j’aimerais aussi connaître ce qu’il embarque comme passager pour faire d’aussi jolies photos.
On est dans le pur cliché de carte postale – mais je trouve que c’est là que Dumbo a donné le meilleur de lui-même; à hauteur d’oeil, on remarque moins ces contrastes de couleurs et immensité sauvage. J’ai hâte de pouvoir à nouveau soudoyer Philéas pour m’aider à monter les vidéos rapportées – ces photos ne sont que des extraits. Vivement que le Bac soit passé !
Dumbo nous a temporairement quittés Val Lao, j’espère qu’il rentrera bientôt à la maison. Mais je vous explique ça lundi ;-) .
1 juin 2017 16 h 17 min
Nan mais cette photo de toi dans l’eau ! Les couleurs de l’eau bien sûr, mais toi, toi au milieu ! Magnifique !
Je n’avais pris qu’un maillot, quel pif qu’il ait été assorti à l’eau. Par contre, il est revenu tout rouillé, le système de filtration d’eau sur l’île est basique – mais du coup, à chaque fois que je l’enfile, de jolis souvenirs me reviennent. Parce que c’est le genre d’image qu’on emmène avec soi pour traverser la vie d’un pas plus léger.
1 juin 2017 19 h 05 min
Je VEUX un Dumbo ! Bon, d’accord, je l’ai déjà dit ! Ça fait vraiment rêver, tu sais ! Surtout la mer ! Même si je ne nage pas bien (litote) et que je ne pense pas que je pourrais regarder les poissons. Vous avez masque et tuba ? Et tu plonges en apnée pour les suivre ?
Dumbo est mal en point tu sais, Yanne. Il faut que je vous explique ça lundi. Du coup, je n’ai toujours pas pu apprendre à le piloter un peu, histoire d’avoir Philéas en maillot la prochaine fois.
Mon grand est tombé ce soir sur quelques images du train bleu, dans les calanques de Marseille; je suis d’accord avec lui, c’est là qu’il faut qu’on emmène Dumbo quand il rentrera à la maison.
Oui, on avait embarqué combi, palmes, masque et tuba, et c’était le truc le plus encombrant qu’on ait transporté. Il faut que je vous montre ma sublime trombine à la plage; quand les autres touristes sont en itsy-bikini, qui ressemble a un pingouin plein de crème solaire ?
Peut-être mais qui ne sera pas fripée comme une vieille pomme à 50 ans ? Qui n’aura pas de mélanome ? Le pingouin tartiné d’écran total ! Encore que, nous demandons à voir avant de valider « pingouin » !
Attention Yanne; je suis belge, le ridicule ne me fait pas peur. Me prélasser en plein soleil, c’est pas trop mon truc; je suis une grande chasseuse d’ombre. Mais j’ai retenu la lcçon après m’être fait un monumental coup de soleil aux fesses en snorkelant: maintenant, c’est combi ou parasol ( moins pratique en pleine mer, j’en conviens ).
Attends, je ne suis pas sûre d’avoir bien compris : un masque, jusque-là je suis, un tuba, jamais compris comment on faisait pour aller un peu plus bas sans se noyer, des palmes, passe encore, et un parasol accroché à la taille pour protéger les fesses du soleil ? Ça fait parachute ascensionnel, peut-être aussi ? Une chose est sûre, les habitants en parlent encore !
Arrête Yanne; Philéas a déjà tenté de se tranformer en canot humain hier avec brassards aux pieds et mains; ça fonctionne moyen. Ouf, je ne suis pas la seule dont le cerveau ramolli passé les 30°.
N’empêche, j’aurais peut-être l’air con, mais le coup de soleil aux fesses pour un vol de 12 heurs, never again !
3 juin 2017 17 h 23 min
Hier je fetais mes 27 ans de mariage et le 4 juin 1990 nous nous sommes envolés pour notre voyage de noce en Thailande. Après avoir decouvert Bangkok, Chiang Maïg, Chiang Raï nous avons fini notre séjour à Koh Samui. Et c’est en lisant tes commentaires sur les changements que je me rends compte de mon grand âge ! ;-) A l’époque, pas de métro à Bangkok, Chiang Maï magnifique et surtout Koh Samui une île paradisiaque sans aéroport et presque pas d’hôtel et encore moins de resort . Notre bungalow au bord de la plage pour 50 francs. Pas d’animation le soir , seulement les orages électriques au loin et les pieds dans l’eau et le plancton fluorescent. ! La plage de Chaweng beach pour nous deux ! Tu as réveillé dans ma mémoire de magnifiques souvenirs. J’ai un souvenir ému de gens charmants qui nous accostaient dans la rue pour nous parler de Platini et de vendeurs de rue qui me régalaient de plats délicieux ! Une fois, dans le treizième à Paris, j’ai retrouvé exactement la même odeur de nourriture. Et pour refermer mon album de souvenirs, j’ai la nostalgie des mangoustans mûrs à point !
Quelle chance d’avoir découvert Koh Samui avant le rush touristique; il y a maintenant aéroport, supermarchés et golfs sur l’île. Chiang Mai a connu un essor impressionant; les lotissements s’étendent jusqu’à 20 km autour de la ville et même Chiang Rai a des centres commerciaux. Mais cela va aussi de pair avec l’émergence d’une classe moyenne en Thaïlande, qui crée un tourisme intérieur et découvre le slow travel, pour renouer avec des régions authentiques. Je trouve que c »est d’ailleurs assez intéressant de voir que des destinations destinées aux touristes thaïs se sont développées, en dehors des circuits touristiques fréquentés par les occidentaux. Ce qui n’a pas changé, par contre, c’est que les gens sont vraiment adorables ! Cette manière de prendre les choses avec sourire et philosophie est déconcertante et si apaisante.
Zen attitude koi..?!
3 juin 2017 20 h 40 min
Un seul mot : Magnifique !
C’est vraiment un très bel endroit Lanouhe, j’ai hâte de partager d’autres photos avec vous.
4 juin 2017 17 h 00 min
Tu vas me faire pleurer face à tant de beauté Daphné! Et ce petit Bernard Lhermitte, trop trop chou! Bon dimanche, bises,
Amy
N’est-ce pas fascinant de voir ces bernard-lhermite et leur drôle de stratégie pour survivre ? J’en avais trouvé un dans un coquillage très long, et complètement bancal; qu’il trainait de son mieux. La vie immobilière n’a pas l’air simple pour eux non plus.
Oui, ces îles de Trang sont sublimes; j’espère que leur statut de parc national les protègera de la spéculation.
4 juin 2017 18 h 26 min
Quoi de mieux que de plonger dans tes sublimes photos pour oublier cet état grippal qui me terrasse depuis 3 jours ?!!!!! (note à moi-même, penser à te cambrioler pour voler ton maillot ;-) ) Ces paysages sont d’une telle beauté qu’ils donnent envie de partir avec juste un aller simple ! Ces plages vides de monde, cette eau aux multiples couleurs…… C’est sûr, c’est pas le Grau du Roi (même si j’aime bien l’Espiguette !) J’aime bien aussi ton expression de « voyage immobile » :-) j’espère que tu as encore pleins de photos et/ou de vlogs quelque part dans ton ordi ;-)
Et en vrac (vu mon retard !), j’ai adoré visiter Greenway par photos interposées ; toujours émouvants ces endroits où, parfois, l’âme des anciens occupants flotte encore. Et voilà, j’ai envie de découvrir le Dartmoor !!!!!
31000 jours (déjà 19345 passés pour moi !), plus de Maman à fêter, mais des filles qui m’ont gâtée ; ce billet m’a beaucoup touchée et émue et je me dis que j’ai beaucoup de chance d’avoir des filles adorables alors que je suis très loin d’être une maman parfaite. Ce qui m’amène tout naturellement au cahier d’activité fête des mères ! Je crois bien que j’irais l’imprimer en 2 exemplaires chez une amie munie d’une imprimante pour le faire avec mes 2 donzelles (bah quoi ?!!! T’as pas donné de limite d’âge ;-) ) ça fera un souvenir sympa et le remplir ensemble promet certaineement quelques crises de rires ! Je retiens l’idée du plat à décorer au feutre porcelaine pour mes loulous l’année prochaine.
Je voulais tester ce WE les scones de patates, mais ce sera pour la semaine prochaine, pas question de me mettre en cuisine avec une perte de goût et d’odorat ce qui a le don de me rendre d’une humeur massacrante ! Je saurai me dévouer, une fois ces 2 sens revenus, pour goûter avec la tapenade, l’anchoïade, la brandade, la creme de pois chiche ET ta tartinade de petits pois qui a eu un franc succès lorsque je l’ai faite. Cette recette, ainsi que celle du lemon posset, vont devenir des incontournables cet été :-)
Joyeuse fin de WE prolongé, bonne Féria si vous vous aventurez dans la cité nîmoise, moi je retourne à mes inhalations et mes kleenex !!!!!
Bizzzzzzzzz
Hello Daphné ! Comme Marikat, je me la fais synthèse mensuelle : scones testés demain soir (pommes de terre déjà cuites), bave sur mon écran d’ordi déclenchée par tes photos au bleu irréel pas encore lavée, tentative d’être plus en phase et compréhensive avec ma propre mère, rires en cascade sur Instagram avec tes balades à vélo et le peeling à la sciure de bois, bref, un mois de mai ponctué par tes super photos et articles, et que dire de juin qui s’annonce !
ah, on me souffle dans l’oreillette que ce sera encore plus blindé pour moi, bac oblige. Donc, bonnes révisions à Philéas !
Sinon, j’ai halluciné sur la photo de Martin Parr, je ne vais à la plage qu’en Corse (la snob !) et on ne peut pas dire qu’il y ait foule… quel électrochoc !
Bonne duit Marikaaaaatchoum (pardon)
Berci Bila !!!!!! Et zut, j’ai pas le réflexe Instagram au grand dam de certain-e-s :-(
Bon, m’en vais faire un tour sur le truc en question faire d’autres découvertes et enquêter sur ce peeling à la sciure de bois, mon nez d’une fort jolie couleur rouge eçrevisse et peau qui pèle retrouvera peut être sa place discrète et sa blancheur au milieu de ma figure ;-)
Bon courage pour le bac, ici les partiels sont passés, ma grande attaque un BTS immobilier en alternance dès juillet et ma cadette semble avoir réussi son année, Mais j’attends THE papier où que ce sera ecrit dessus !!!!!!!!!!!!
Bon lundi farniente
Quoi Marikat; tu as raté mon bricol’woman show ? ( Heureusement ) les preuves s’autodétruisent dans les 24 h – je crois que c’est déjà rapé pour ce merveilleux gommage.
Cool, c’est chouette de voir ses enfants se construire leur vie et prendre leur envol ( même si je ne veux même pas penser au moment où mon grand quittera le nid – d’ailleurs, le blog survivra-t-il au départ de mon technicien préféré ? ).
Mila, puis-je t’avouer un truc ? J’ai désaturé les photos de Koh Ngai; brutes, elles semblaient complètement irréelles. Je te confirme, le peeling à base de sciure de bois marche pas mal du tout – mais le must reste 3 jours de snorkeling à Koh Ngai, j’ai retrouvé des lambeaux de peau de voûte pantaire pendant des semaines après. Glamour un jour, glamour toujours !
N’est-ce pas fascinant de voir cet ersatz de plage, qu’on imagine bien posé à côté de la piste de ski de Dubaï. J’ai pensé au Truman Show en la voyant.
J’essaie d’aider Philéas a créer des passerelles entre les différents textes qu’il étudie et de les remettres dans leurs contextes respectifs – mais la tâche me parait si vaste – et je dois bien avouer ne pes être très calée sur certains mouvements, comme la Pléiade ou le Parnasse. Et mardi, il rajoute la journée d’appel aux révisions et derniers contrôles, youpi ( en plus d’une vidéo publiée sur Youtube ).
Oh zut Marikat; est-ce un cadeau laissé par tes petits bouts pour que tu penses à eux ce week-end ? J’espère que les microbes sont partis voir ailleurs depuis.
Franchement, mon maillot a fini plein de rouille, je ne te recommanderai pas de le piquer ( mais c’est pas grave, je l’aime encore plus comme ça, avec les souvenirs qui lui sont maintenant rattachés ). Je ne suis pas très branchée plage à vrai dire; j’ai du mal a rester assise sur le sable plus de 5 minutes – d’ailleurs, on n’a pas vraiment usé les transats du resort pendant notre séjour.
Ah oui, je me disais bien que personne n’avais encore envisagé le carnet de tendresse au second degré; mais je l’ai tout de suite imaginé détourné !
Je te souhaite une douce fin de week-end <3
3 juillet 2017 18 h 14 min
Bonjour Daphné ! A quand le prochain article sur Koh Ngai ? je trépigne :)
Oups, tu as raison Hélène, j’ai promis cet article depuis bien trop longtemps déjà – mais j’ai prévu de le publier d’ici la fin de semaine. Je sais que c’est paradoxal, mais comme il était prêt, je l’ai gardé en réserve pour les jours trop remplis pour écrire par ici ( et promis, cette fois je clique sur publier ).
Mais il y a déjà un petit peu de Koh Ngai sur le fond d’écran de juillet et dans le bandeau vidéo estival si tu veux un avant-goût ;-) .